Un artiste de rue a réalisé une œuvre titanesque en recouvrant une ville entière de post-it, dénonçant la perte de la mémoire collective à l’ère numérique. Chaque post-it portait un souvenir personnel ou collectif, transformant ainsi la ville en une immense fresque de souvenirs.
L’œuvre éphémère a intrigué les habitants, qui ont été surpris de découvrir leurs murs, rues et bâtiments recouverts de post-it. Certains ont même pris le temps de lire les souvenirs inscrits sur les post-it, créant ainsi un lien inattendu entre les habitants.
A travers cette installation, l’artiste a voulu dénoncer la disparition progressive de la mémoire collective à l’ère numérique, où les souvenirs sont de plus en plus externalisés. Selon lui, nous sommes de plus en plus déconnectés de notre passé et de notre histoire collective.
L’artiste a voulu rappeler l’importance de se souvenir d’où l’on vient, de notre histoire et de nos racines. Il a ainsi invité les habitants à prendre le temps de se rappeler, de partager leurs souvenirs et de renouer avec leur histoire collective.
Au-delà de l’aspect esthétique et surprenant de l’installation, l’œuvre a surtout fait réfléchir les habitants sur la place de la mémoire collective dans notre société actuelle. Une belle manière de remettre en question notre rapport au passé et à la mémoire.
Un artiste qui utilise l’espace urbain comme support pour son art.
Une œuvre d’art réalisée en utilisant des post-it comme medium.
Le souvenir partagé et transmis par les membres d’une communauté.
Période actuelle caractérisée par l’utilisation massive des technologies numériques.
Mémoire d’un fait, d’une expérience passée.
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