La ministre de l’Éducation et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, est une nouvelle fois au cœur d’une polémique. Après ses propos controversés sur l’école Littré, c’est maintenant son salaire à la tête de la Fédération française de tennis qui est pointé du doigt. Selon les députés, elle touchait un salaire mirobolant de 1,4 million d’euros par an lorsqu’elle était directrice exécutive chez Carrefour. Une révélation qui a de quoi faire grincer des dents, surtout lorsque l’on sait que la ministre avait déclaré avoir divisé par trois son salaire pour prendre la tête de la FFT.
L’annonce du salaire d’Amélie Oudéa-Castéra a provoqué l’indignation de nombreux députés. Certains estiment que ce montant est totalement disproportionné par rapport aux responsabilités de la ministre. D’autres dénoncent une nouvelle preuve de l’élitisme qui règne dans le monde du sport. En tout cas, cette révélation vient s’ajouter à la liste des controverses auxquelles la ministre doit faire face depuis sa nomination.
Amélie Oudéa-Castéra avait déclaré avoir divisé par trois son salaire pour prendre la tête de la FFT. Une décision qui semblait courageuse à l’époque, mais qui est aujourd’hui remise en question. Certains se demandent si cette réduction était réellement nécessaire, étant donné le salaire déjà très élevé de la ministre chez Carrefour. Une chose est sûre, cette affaire risque de ternir un peu plus l’image de la ministre et de sa gestion de la FFT.
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